Le gouvernement britannique se prépare à des mesures strictes contre les « non-domiciliés » avec des coûts élevés pour l'économie
Le gouvernement britannique, dirigé par le Parti travailliste, s'apprête à introduire de nouvelles mesures fiscales concernant les soi-disant « non-domiciliés », ce qui pourrait entraîner des pertes financières significatives pour le pays. Ce mouvement pourrait coûter à l'économie jusqu'à 1 milliard de livres sterling par an.
Selon les nouvelles initiatives, le gouvernement a l'intention d'abolir les avantages fiscaux pour les individus riches qui résident au Royaume-Uni mais ne considèrent pas ce pays comme leur résidence permanente. Ces changements pourraient toucher un grand nombre d'investisseurs, d'entrepreneurs et de propriétaires immobiliers qui pouvaient auparavant éviter de payer des impôts sur leurs revenus à l'étranger.
Les experts prédisent que de telles initiatives pourraient entraîner un écoulement massif de capitaux du pays, car de nombreux clients riches envisagent de déménager dans d'autres juridictions où le système fiscal est plus favorable. Les opposants à cette politique avertissent des conséquences potentielles liées à la diminution des flux d'investissements et à une détérioration de la situation économique dans le pays.
Les ministres affirment que cette politique vise à accroître l'équité dans le système fiscal et à garantir une plus grande transparence en matière de fiscalité. Ils soutiennent également qu'il sera relativement simple de procéder aux changements substantiels nécessaires pour mettre en œuvre ces initiatives.
Cependant, la question de savoir dans quelle mesure le gouvernement pourra réussir à mettre en œuvre ses plans reste ouverte. De nombreux économistes et analystes estiment cette initiative risquée, soulignant que des ordres alternatifs pourraient voir le jour, susceptibles d'avoir un impact négatif sur les couches les plus défavorisées de la société.
Par conséquent, le gouvernement devra trouver un équilibre entre la nécessité de garantir l'équité dans le système fiscal et le maintien de l'attrait du Royaume-Uni en tant que centre financier international.